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Crottes animales diverses et variées. Publication 2022 01 15

  Note réactualisée parue une première fois le 15 décembre 2014.  


CROTTES LAISSÉES FUMÉES 

Les déjections Animales

 

La saison hivernale est favorable à l'observation des crottes, des laissées ou des fumées ...

 

Coprologie - Étude des Crottes Animales - Régimes Alimentaire Renard roux - Décorticage - Étude des Fèces -

2025 19
 
Avertissement : Dans le cadre de mon article, que je veux rigoureux, j'ai eu recours à un générateur d'image basé sur l'intelligence artificielle AI pour illustrer mes propos. Je tiens à préciser que les photos utilisées sont clairement identifiées comme étant le résultat de cette technologie. 
 

Comment débuter en coprologie animale. 

 


Chasse Renard roux. Le retour Article 2018 030

Tout est parfait mais le locataire attendu ne vient pas !retour-de-chasse-un-renard-avec-un-jeune-ragondin-dans-la-gueule

Un dernier clin d'œil au photographe

Peut-on aller sur les terriers en ce moment ?

Les photographes et les naturalistes le savent, il est fortement déconseillé de rôder autour des terriers en avril mai juin.

Les raisons sont simples.

Certains terriers servent de refuge ou de gîte temporaire, mais d'autres en revanche sont utilisés pour y mettre bas. La mise bas et l'élevage des jeunes constituent pour l'animal l'étape ultime de la survie de l'espèce. Il est aisé, connaissant cela, de comprendre que le moindre dérangement sur un gîte de mise bas ou d'élevage provoque immanquablement la mise en sécurité des jeunes. Suivant l'espèce les adultes soustraient leur progéniture du danger en attaquant l'intrus, en éloignant leur portée ou en abandonnant purement et simplement leurs jeunes. Si un renard choisit de déménager discrètement ses jeunes du terrier, il en est tout autrement d'une ourse dérangée dans sa tanière par un photographe !

Comment savoir qui occupe le terrier ?

Le renard.

Le renard est un locataire discret, il laisse peu d'indice de présence à l'extérieur. Si des renardeaux occupent le terrier, les indices de présence augmentent. La terre autour de la gueule est plus tassée, les herbes des alentours immédiats ont tendance à être davantage foulées, quelques restes de repas abandonnés peuvent être observés à proximité. Plus les jeunes grandissent plus ces indices augmentent en intensité.

Le blaireau.

Grand fouisseur le blaireau remue davantage de terre les signes extérieurs sont plus facilement observables. Des herbes sèches de la mousse ou des feuilles, perdues pendant le renouvellement de la litière parsèment les coulées. Des pots contenant des crottes fraîches peuvent être observés à proximité, mais attention ce n'est pas la règle ! Les chemins d'accès au gueules sont bien marqués et semblent balayées.

Le photographe attentif peut donc savoir si le terrier est occupé et par qui ?

Effectivement, sans s'aventurer sur les tas de déblais ni à proximité immédiate des gueules, il est possible de savoir qui, une fois la nuit tombée, sortira du terrier. Bien, souvent, les renardeaux n'attendent pas la tombée de la nuit pour se montrer et font la joie de l'observateur attentif.

Pourquoi avoir choisi ce titre alors pour votre article ?

Pour la simple et bonne raison que, pensant revenir avec des photos de blaireau, je rentre ce soir-là, à la maison, avec des photos de ... Renard roux !
J'avais remarqué ce terrier installé sous un bâtiment désaffecté chez un ami agriculteur près de Doué-la-Fontaine.
terrier-blaireau
Terrier de blaireau
Terrier de blaireau

Terrier de blaireau
Le blaireau a creusé son gîte à proximité immédiate d'un champ de maïs et ne le fréquente (ce que j'aurais dû savoir) qu'au moment où le maïs est consommable. Il s'agit d'un terrier annexe et non pas du gîte principal (ou gîte de mise bas).
Terrier de blaireau installé près du champ de maïs
Ce soir-là, je m'installe à peu de distance de la bouche principale sans avoir pris la précaution d'effectuer une reconnaissance préalable. Le temps passe sans voir sortir le moindre blaireau. La nuit tombe doucement, sorti de nulle part, un renard arrive, transportant le cadavre d'un jeune ragondin dans la gueule. Il emprunte un cheminement créé par le passage des roues du tracteur et se dirige vers son terrier, là où je suis installé. À quelques dizaines de mètres de mon poste d'affût, il remarque ma présence, hésite fait demi-tour avec sa proie, empruntant le même cheminement et disparaît dans les fourrés.
retour-de-chasse-un-renard-avec-un-jeune-ragondin-dans-la-gueule
Retour de chasse Renard roux

retour-de-chasse-un-renard-avec-un-jeune-ragondin-dans-la-gueule
Retour de chasse Renard roux

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Retour de chasse Renard roux

retour-de-chasse-un-renard-avec-un-jeune-ragondin-dans-la-gueule
Retour de chasse Renard roux

retour-de-chasse-un-renard-avec-un-jeune-ragondin-dans-la-gueule
Retour de chasse Renard roux

Conclusion.

Par peur du dérangement, je n'ai pas surveillé de près ce terrier. Une simple reconnaissance m'aurait sans doute permis de constater l'absence d'indices de présence du Blaireau d'Europe.
Ce qui s'est très probablement passé.
Ce terrier secondaire a été creusé et occupé uniquement en raison de la présence du champ de maïs puis abandonné par l'animal une fois la source de nourriture épuisée. Lors de l'inspection de son territoire (sitôt après le rut) un renard découvre ce terrier abandonné, il décide d'y mettre bas et d'y élever sa progéniture.

Les liens utiles pour :

- en apprendre plus sur le Blaireau d'Europe [ICI
- en apprendre plus sur le Renard roux [ICI]

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Le Renard roux du cimetière. 2013 135

Voilà un emplacement de terrier pour le moins original !

Finaud, notre ami le Renard roux fait preuve encore une fois, d'une faculté d'adaptation remarquable.
Que dire de plus à la vue de ces photographies d'un terrier creusé sous un tombe, à concession perpétuelle, s'il vous plait.



Les indices de sa présence ne manque pas y compris dans les chapelles funéraires abandonnées.
Quel farceur cet animal tout de même ?
Peut-être s'agit-il d'une chapelle funéraire abritant une famille de chasseurs. Belle revanche !


La porte détériorée laisse le passage libre à notre rouquin.


Voilà ce que dit wikipédia au sujet de ces renards des villes.


Renard des villes

Depuis le XVIe siècle, la présence occasionnelle de renards en ville est mentionnée, mais depuis la seconde partie du XXe siècle il s'installe réellement en ville, et les populations de renards « urbains » sont plus fréquentes depuis quelques décennies. Cela s'explique peut-être par un habitat qui leur est devenu plus favorable par rapport aux campagnes agricoles intensives, ou par l'expansion urbaine très rapide, qui a conduit à enclaver certains territoires de chasse des renards qui se sont adaptés au nouveau milieu auquel ils étaient confrontés. Ils sont notamment présents dans les quartiers et banlieues résidentiels où ils trouvent des jardins et des parcs et de la nourriture en quantité. Les villes de Grande-Bretagne lui conviennent tout particulièrement, et à Londres on compte par exemple 25 renards par km. Le London Ecology Unit a d'ailleurs accompagné un programme de protection du Renard roux. À Bristol ce nombre s'élève à 30 renards par km. Une étude récente a montré qu'à Nantes ils étaient presque toujours cantonnés aux espaces verts plutôt qu'aux jardins et que leur nourriture (étude du contenu des crottes) variait selon les lieux qu'ils fréquentent, mais était peu anthropisée. À Bruxelles, le renard roux est une espèce protégée au même titre que tous les mammifères. Il a réussi à s'adapter à l'environnement urbain bruxellois où il a trouvé de la nourriture en suffisance (notamment sous la forme de déchets). Dans certaines villes les habitants les nourrissent en leur laissant quelques restes de nourriture.



Le Renard roux urbain est actif quasi-exclusivement la nuit. Il passe le reste de la journée à dormir dans un endroit tranquille, comme un jardin, un toit de garage ou encore un bâtiment abandonné. En guise de terrier, la renarde se montre également très opportuniste. Elle peut mettre bas dans un garage, une cabane de jardin ou un quelconque bâtiment abandonné. Il lui arrive également de creuser un terrier dans un jardin, sous une racine ou une dalle en béton, dans un cimetière ou sous une maisonnette de jardin. Cela peut parfois mener à des situations peu banales, avec une famille de renards vivant à proximité directe de l'homme. La cohabitation avec les humains peut du coup être difficile, car le renard peut faire des dégâts dans les jardins et les parsème de ses défécations. Dans ce cas l'emploi de substance répulsive et l'éclairage prolongé peut permettre de le repousser. La structure des groupes de renards urbains est également différente de celle des renards en milieu rural. Ainsi les groupes sont généralement assez grands, formés autour d'un couple dominant auquel sont adjoints un certain nombre de subordonnés, pas forcément issus de la portée de l'année précédente mais pouvant venir d'autres familles voisines.

À bientôt ami lecteur pour d'autres aventures !






Gélinotte des bois prédation. 2013.058

Durant un court séjour dans le Jura français, j'ai eu la chance de découvrir des indices de prédation d'une Gélinotte des bois (Tetrastes bonasia).

Peut-être s'agit-il d'une sous espèce propre à cette région. Seul un spécialiste pourrait  déterminer avec précision l'espèce incriminée.
La Gélinotte des bois appartient à l'ordre des galliformes, elle fait partie de la grande famille des phasianidés et à la sous famille des tétraonidés.

Au sujet des tétraonidés wikipédia nous dit :


Les tétraoninés ou Tetraoninae sont une sous-famille d’oiseaux comprenant tétras, gélinottes et lagopèdes. Ce sont des oiseaux dodus au dimorphisme sexuel important chez certaines espèces.
Les Tétraoninés vivent tous dans l’hémisphère nord, de l’Espagne aux États-Unis, en passant par de nombreux pays. Ils sont tous adaptés aux climats froids des montagnes ou des zones boréales.




Voici, à titre documentaire, quelques représentants de cette sous-famille :

Le Grand Tétras (Tetrao urogallus) ;



Le Tétras lyre (Tetrao tetrix) ;




 Le Lagopède alpin (Lagopus muta) ;


et la Gélinotte des bois (Tetrastes bonasia).


Pour le pisteur, une caractéristique commune à ces oiseaux semble bien être la forme et l'aspect de leurs déjections, appelées fientes, ou crottes suivant les auteurs.


Ce sont de petits cylindres, dont la taille varie, bien entendu, avec l'espèce, mais dont la cohérence peut persister longtemps après leur expulsion, surtout en période hivernale. Une des extrémités porte fréquemment une trace blanche due à l'excrétion d'acide urique, et d'ammoniaque.

Bon à savoir : avec le temps cette partie blanche se dégrade peu à peu, permettant de différencier les crottes fraîches, des plus anciennes.

C'est par le plus grand des hasards que j'ai découvert cet amas de crottes dans une petite dépression.


 Nous sommes en juin, mais dans cette partie du jura,

 
 le froid perdure, et la neige est encore bien présente.


Le Jura est réputé pour ses hivers rigoureux.
  

C'est dans une congère, bordant une route forestière, qu'est faite la découverte.
Leur aspect fait penser à des crottes de Grand tétras, mais leur longueur d'un peu plus de 2 cm est loin de rivaliser avec les 5 ou 6 cm de notre grand coq !

Les crottes, ou fientes une fois séchées présentent un aspect caractéristique, de petites brindilles sont bien visibles, ainsi que d'autres débris végétaux non identifiables.




Ce qui est surprenant, c'est qu'après plus de 3 semaines de séchage, la partie blanche est encore bien visible. Nous pouvons donc conclure que la pluie ou l'humidité ambiante contribuent de façon significative à la disparition des traces d'acide urique et d'ammoniaque !

Des plumes éparses gisant un peu plus loin me permettent d'affiner mon observation, et d'identifier avec certitude ces crottes comme appartenant à une Gélinotte des bois.


L'observation rapprochée de quelques plumes permet de mettre en évidence l'action d'un prédateur...


Plumes arrachées et rachis coupés, pas de doute permis.
Une crotte déposée au milieu de la plumée nous fournit la quasi certitude que nous avons affaire à une prédation de Renard roux.


L'examen attentif des plumes confirme qu'il s'agit bien d'une gélinotte.



 Placés dans des pochettes, ces fragiles témoignages serviront d'aides visuelles pour de futures animations !


Une recherche documentaire permet également de confirmer, une nouvelle fois, que cet oiseau devenu rare est bien présent dans le secteur. Des mesures de protection ont d'ailleurs été mises en place pour assurer la pérennité de l'espèce.
Notez au passage qu'il est interdit, entre autres, de pratiquer la chasse photographique dans le secteur ! C'est assez rare pour être signalé.


Pourtant aux abords immédiats de cette zone protégée, des pistes de ski nordique, des remontées mécaniques, et des pistes de ski alpin morcellent la forêt. C'est donc, comme d'habitude, dans un mouchoir de poche que doivent survivre ces oiseaux si rares !


Epilogue.

Comment maître goupil a-t-il pu s'emparer de cette gélinotte qui devait vraisemblablement être gîtée là ?  Un creux dans la neige, dont le fond est tapissé de crottes, témoigne encore de sa présence. Le drame s'est déroulé probablement depuis longtemps lorsque je découvre la scène du "crime" . Aucune trace sur cette vieille neige ayant subi depuis plusieurs mois gels et dégels consécutifs.
Surpris par notre goupil, la gélinotte tente de s'envoler mais heurte semble-t-il, des branches basses un peu plus haut dans le talus. Habile chasseur notre rusé compère profite de l'occasion pour s'en emparer.
Ce ne sont là, bien entendu, que suppositions.


À bientôt amis lecteurs pour de nouvelles aventures naturelles.




 







Gélinotte des bois prédation. 2013.058

Durant un court séjour dans le Jura français, j'ai eu la chance de découvrir des indices de prédation d'une Gélinotte des bois (Tetrastes bonasia).

Peut-être s'agit-il d'une sous espèce propre à cette région. Seul un spécialiste pourrait  déterminer avec précision l'espèce incriminée.
La Gélinotte des bois appartient à l'ordre des galliformes, elle fait partie de la grande famille des phasianidés et à la sous famille des tétraonidés.

Au sujet des tétraonidés wikipédia nous dit :


Les tétraoninés ou Tetraoninae sont une sous-famille d’oiseaux comprenant tétras, gélinottes et lagopèdes. Ce sont des oiseaux dodus au dimorphisme sexuel important chez certaines espèces.
Les Tétraoninés vivent tous dans l’hémisphère nord, de l’Espagne aux États-Unis, en passant par de nombreux pays. Ils sont tous adaptés aux climats froids des montagnes ou des zones boréales.




Voici, à titre documentaire, quelques représentants de cette sous-famille :

Le Grand Tétras (Tetrao urogallus) ;



Le Tétras lyre (Tetrao tetrix) ;




 Le Lagopède alpin (Lagopus muta) ;


et la Gélinotte des bois (Tetrastes bonasia).


Pour le pisteur, une caractéristique commune à ces oiseaux semble bien être la forme et l'aspect de leurs déjections, appelées fientes, ou crottes suivant les auteurs.


Ce sont de petits cylindres, dont la taille varie, bien entendu, avec l'espèce, mais dont la cohérence peut persister longtemps après leur expulsion, surtout en période hivernale. Une des extrémités porte fréquemment une trace blanche due à l'excrétion d'acide urique, et d'ammoniaque.

Bon à savoir : avec le temps cette partie blanche se dégrade peu à peu, permettant de différencier les crottes fraîches, des plus anciennes.

C'est par le plus grand des hasards que j'ai découvert cet amas de crottes dans une petite dépression.


 Nous sommes en juin, mais dans cette partie du jura,

 
 le froid perdure, et la neige est encore bien présente.


Le Jura est réputé pour ses hivers rigoureux.
  

C'est dans une congère, bordant une route forestière, qu'est faite la découverte.
Leur aspect fait penser à des crottes de Grand tétras, mais leur longueur d'un peu plus de 2 cm est loin de rivaliser avec les 5 ou 6 cm de notre grand coq !

Les crottes, ou fientes une fois séchées présentent un aspect caractéristique, de petites brindilles sont bien visibles, ainsi que d'autres débris végétaux non identifiables.




Ce qui est surprenant, c'est qu'après plus de 3 semaines de séchage, la partie blanche est encore bien visible. Nous pouvons donc conclure que la pluie ou l'humidité ambiante contribuent de façon significative à la disparition des traces d'acide urique et d'ammoniaque !

Des plumes éparses gisant un peu plus loin me permettent d'affiner mon observation, et d'identifier avec certitude ces crottes comme appartenant à une Gélinotte des bois.


L'observation rapprochée de quelques plumes permet de mettre en évidence l'action d'un prédateur...


Plumes arrachées et rachis coupés, pas de doute permis.
Une crotte déposée au milieu de la plumée nous fournit la quasi certitude que nous avons affaire à une prédation de Renard roux.


L'examen attentif des plumes confirme qu'il s'agit bien d'une gélinotte.



 Placés dans des pochettes, ces fragiles témoignages serviront d'aides visuelles pour de futures animations !


Une recherche documentaire permet également de confirmer, une nouvelle fois, que cet oiseau devenu rare est bien présent dans le secteur. Des mesures de protection ont d'ailleurs été mises en place pour assurer la pérennité de l'espèce.
Notez au passage qu'il est interdit, entre autres, de pratiquer la chasse photographique dans le secteur ! C'est assez rare pour être signalé.


Pourtant aux abords immédiats de cette zone protégée, des pistes de ski nordique, des remontées mécaniques, et des pistes de ski alpin morcellent la forêt. C'est donc, comme d'habitude, dans un mouchoir de poche que doivent survivre ces oiseaux si rares !


Epilogue.

Comment maître goupil a-t-il pu s'emparer de cette gélinotte qui devait vraisemblablement être gîtée là ?  Un creux dans la neige, dont le fond est tapissé de crottes, témoigne encore de sa présence. Le drame s'est déroulé probablement depuis longtemps lorsque je découvre la scène du "crime" . Aucune trace sur cette vieille neige ayant subi depuis plusieurs mois gels et dégels consécutifs.
Surpris par notre goupil, la gélinotte tente de s'envoler mais heurte semble-t-il, des branches basses un peu plus haut dans le talus. Habile chasseur notre rusé compère profite de l'occasion pour s'en emparer.
Ce ne sont là, bien entendu, que suppositions.


À bientôt amis lecteurs pour de nouvelles aventures naturelles.




 







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