(2023 34) Chasse Photographique Les Tricheurs du cliché parfait

 

Chasse Photographique Les Tricheurs du cliché parfait

 
 

 
J'ai choisi d'illustrer cet article avec la reproduction d'une carte postale de notre ami ALexis NOUAILHAT. "Alexis s’est envolé comme le gypaète, vers d’autres cieux le 1er mai 2021".LIEN.
 
Cette image donne une idée assez précise de ce que doit être un naturaliste et un photographe naturaliste. Un être humain faisant corps avec la nature, capable de passer des heures, des jours, des nuits dans la nature à observer, collectant traces et indices, remplissant des carnets de notes pour finalement ne ramener, après ces heures interminables faites d'attente et de persévérance (patience), qu'une photo floue. 
Voilà déjà un moment que je voulais écrire un article sur la Chasse photographique ce qu'elle est devenue au fils des ans avec l'avènement d'internet et des réseaux dits sociaux. Je viens d'être devancé par Emmanuel Clévenot du journal en ligne Reporterre. Son article tente de faire le point sur des sujets qui fâchent, notamment celui des affût payants !
Cet article ne met pas un point final à ma réflexion sur la Chasse photographie bien au contraire.

Extrait :

Animaux mis en scène, carcasses pour les attirer... De nombreux photographes animaliers trichent pour faire la photo parfaite. Dont certains lauréats de grands prix.

Il était une fois l’histoire d’amitié entre un ours et une louve, chassant coude-à-coude au cœur d’une tourbière. Un « Roméo et une Juliette improbables », que le destin aurait décidé d’unir. Oubliez les apparences, ce conte est monté de toutes pièces. Il y a quelques mois, Pierre Girard écrivait à Reporterre sa sidération. Parti étudier les ursidés en Carélie du Nord, contrée reculée de Finlande, ce naturaliste en herbe a entraperçu un pan étonnant des coulisses de la photographie animalière : « De grands noms du métier trichent, et j’en ai la preuve. »

À l’autre bout du fil, agitation et amertume s’entrelacent dans la voix de l’homme. Il décrit un système bien rodé de cabanes (des affûts), louées par de célèbres photographes, en lisière d’une forêt boréale. « Un employé débarque en motoneige, avec deux cadavres de cochons dans la remorque. Il les accroche à un arbre pour empêcher les prédateurs de s’en aller avec. » Du saumon et des croquettes pour chien sont enfouis tout autour, pour inciter les gloutons, les ours et les loups à gratter la terre. Et ce, bien entendu, dans l’axe parfait des objectifs.

Vous pouvez bien entendu lire l'article dans son intégralité en allant sur ce  LIEN

Journal Reporterre

 

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