(2023 18 ) catastrophe annoncée - inéluctable - dérèglement climatique - où en sommes-nous

Le dérèglement climatique est-il pour demain ?




 
Plus le temps passe plus nous avons les moyens de mesurer, d'inventorier, de compiler des données, nous pouvons surveiller et suivre à la trace tous les animaux y compris les insectes, avec une précision diabolique
 

A quoi tout cela sert-il ?

A assister en direct  avec des chiffres s'il vous plait à ce que le secrétaire général des Nations unies qualifie d'effondrement

 
« L’effondrement climatique a commencé », a déclaré le secrétaire général des Nations Unies. António Guterres réagissait à l’annonce mercredi 6 septembre d’un nouveau record mondial de température : selon l’observatoire européen Copernicus, les trois derniers mois de l’été boréal – juin, juillet et août 2023 – ont été les plus chauds jamais connus par l’humanité. La température moyenne mondiale a atteint 16,77 °C, soit 0,66 °C au-dessus des moyennes de la période 1991-2020. Elle dépasse d’environ deux dixièmes le précédent record, qui date à peine de 2019.

Cela peut sembler peu. Mais la période 1991-2020 était déjà marquée par les effets du réchauffement climatique, provoqué par l’explosion des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine depuis la révolution industrielle. Chaque incrément de réchauffement supplémentaire bouleverse le système climatique dans son ensemble, et augmente de manière nette la fréquence, la durée et l’intensité des évènements extrêmes, tels que les canicules, les mégafeux, les tempêtes et les inondations.

L’été 2023 en a connu une profusion, recensée il y a quelques jours par Reporterre. Le nord-est de la Grèce a notamment été ravagé par des incendies, qui ont dévoré au moins 150 000 hectares au fil de l’été. À cet océan de flammes ont succédé des pluies torrentielles, le 4 et le 5 septembre, qui ont fait au moins six morts et plusieurs disparus dans le pays et dans la Turquie voisine. À la télévision publique grecque ERT, le météorologue Panayotis Giannopoulos, cité par Le Monde, a expliqué que la quantité d’eau tombée en vingt-quatre heures représentait « l’ensemble de la pluie habituelle pendant tout l’automne ». Jamais un évènement d’une telle violence n’avait été observé depuis le début des archives météorologiques, selon le ministre de la Crise climatique et de la Protection civile, Vassilis Kikilias.


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