2019 Article 054
Le dérèglement climatique est une réalité.
Le dérèglement général du climat ne se vérifie pas en regardant le ciel de sa fenêtre (ça, c'est du local) mais en essayant d'avoir un œil sur l'ensemble de la planète. Les technologies actuelles permettent, aujourd'hui, d'avoir ce regard global sur notre terre.
Le dérèglement ne se vérifie pas en se fiant à ses varices, à ses douleurs articulaires ou aux dictons. Non !
Les spécialistes du climat mesurent, déterminent, estiment, quantifient à l'aide d'outils puis établissent des modèles permettant d'évaluer et d'anticiper ce qui risque de se produire à l'échelle de la terre si ...
Quand bien même les chiffres avancés de deux voire quatre degrés de réchauffement global seraient faux, un seul degré de différence représente déjà à lui seul une menace inacceptable pour l'Humanité.
Les spécialistes du climat mesurent, déterminent, estiment, quantifient à l'aide d'outils puis établissent des modèles permettant d'évaluer et d'anticiper ce qui risque de se produire à l'échelle de la terre si ...
Quand bien même les chiffres avancés de deux voire quatre degrés de réchauffement global seraient faux, un seul degré de différence représente déjà à lui seul une menace inacceptable pour l'Humanité.
Ce que nous devons comprendre, c'est que la terre malgré ce réchauffement continuera d'exister sans les Hommes !
Bon à savoir :
Nous devons faire la différence entre la météorologie et la climatologie.Extrait d'un article paru sur le site Reporterre.
« Les glaces fondent donc trois fois plus vite qu’avant »
Dans un climat stable, le mécanisme de l’Antarctique — gain de neige au centre, perte de glace sur les bords — ne provoquerait pas de montée du niveau des océans de la Terre. « L’écoulement glaciaire serait compensé par l’accumulation de la neige, explique l’océanographe Jean-Baptiste Sallée. La calotte antarctique n’influerait alors pas sur le niveau des mers. Le problème est qu’aujourd’hui, ce bilan est en déséquilibre : il y a davantage de pertes que de gains, la masse de la calotte antarctique diminue et contribue à la hausse du niveau global des mers. »
Dans un climat stable, le mécanisme de l’Antarctique — gain de neige au centre, perte de glace sur les bords — ne provoquerait pas de montée du niveau des océans de la Terre. « L’écoulement glaciaire serait compensé par l’accumulation de la neige, explique l’océanographe Jean-Baptiste Sallée. La calotte antarctique n’influerait alors pas sur le niveau des mers. Le problème est qu’aujourd’hui, ce bilan est en déséquilibre : il y a davantage de pertes que de gains, la masse de la calotte antarctique diminue et contribue à la hausse du niveau global des mers. »
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