Mise à jour : 2020 08 12
Le film les grandes gueules tourné dans les Vosges reste un moment mémorable pour les vosgiens.
Toutes les personnes en âge de lire et de comprendre les informations des années 60 gardent un souvenir du tournage de ce western vosgien. La région et la presse ont été impliquées dans cette aventure cinématographique, j'avais 15 ans à l'époque et je travaillais à Remiremont en compagnie d'un collègue qui habitait à Sapois au cœur de la zone de tournage. Je retiens de ce film une bande son exceptionnelle ; pour qui connait les Vosges l'ambiance de ces grandes forêts est fidèlement retranscrite. Il fait partie de mes films cultes !
Le tournage a eu lieu du 14 avril au 20 juillet 1965.
Vosges : scierie au lieu-dit La Clairière de Cellet, à 6 km de Gérardmer (« scierie d'Hector Valentin »), village du Haut du Tôt, Bois-de-Champ, La Bresse, Gérardmer (rue Charles de Gaulle), Plainfaing, Gare de Saint-Dié-des-Vosges, Vagney , Rochesson.
Meurthe-et-Moselle : Bertrichamps, Cirey-sur-Vezouze, Val-et-Chatillon ;
Alsace : bien que toute l'action est censée se passer dans les Vosges, les scènes à la scierie du « concurrent Therraz » auraient été tournées en Alsace. Wikipedia
Meurthe-et-Moselle : Bertrichamps, Cirey-sur-Vezouze, Val-et-Chatillon ;
Alsace : bien que toute l'action est censée se passer dans les Vosges, les scènes à la scierie du « concurrent Therraz » auraient été tournées en Alsace. Wikipedia
Extrait du journal Vosges matin du 24 06 2015
Avec un tournage très proche de la population et des acteurs accessibles, les Grandes Gueules s’ancre comme un film d’exception. « Tous les gens de Vagney étaient présents. La vente du bois à Gérardmer était exceptionnelle. Ce film unique est entré dans les annales du cinéma français » , assure le réalisateur voinraud. Pour l’ancienne institutrice qui a même fait de la figuration dans le film de Robert Enrico, Danièle Perrin, le long-métrage « est un excellent témoin urbain car, des années 60, on a très peu de photos de cette place du village qui a aujourd’hui changé de visage ».
Lorsqu’il sort dans les salles en octobre 1965, le succès des Grandes Gueules est immédiat. Les critiques saluent ce « premier western français » qui sera vu par près de 4 millions de spectateurs. Les Voinrauds, quant à eux, ont attendu le mois de décembre 1965 pour découvrir l’histoire d’Hector Valentin, en présence de Robert Enrico et José Giovanni, lors d’une projection à laquelle 350 figurants ont été conviés.
Lorsqu’il sort dans les salles en octobre 1965, le succès des Grandes Gueules est immédiat. Les critiques saluent ce « premier western français » qui sera vu par près de 4 millions de spectateurs. Les Voinrauds, quant à eux, ont attendu le mois de décembre 1965 pour découvrir l’histoire d’Hector Valentin, en présence de Robert Enrico et José Giovanni, lors d’une projection à laquelle 350 figurants ont été conviés.
Source de cet extrait lien
Un autre à consulter au sujet de ce film LIEN
Un ouvrage de Guy GAUTHIER en lecture libre
Documentaire retraçant la saga de ce film.
Le fabuleux destin des Grandes Gueules
Un itinéraire pour découvrir les lieux du tournage
Fichier GPX
ouvrir dans une nouvelle fenêtre sur votre navigateur
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour, veuillez noter que pour publier votre commentaire vous devez suivre cette procédure.
- Écrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessous sans omettre , les formules de politesse habituelle (facilitant les rapports sociaux) et enfin votre nom et/ou prénom.
Si vous avez un compte Google, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante.
Dans le cas contraire vous pouvez indiquer votre nom prénom ou simplement prénom.
Cliquer enfin sur Publier.
Le message sera publié après modération.
Merci.
Cordiales salutations.
Jean-Paul